Donner des défis, donner confiance, donner du temps, de l’espace et de la complicité. Partager de l’expérience, des informations, des trucs et des astuces. Redonner le sourire, l’envie de parler, de bouger, de communiquer, de lire.

C’est ce que je fais tous les jours, et ça me rend heureuse (pas t heureuse).

Et ça rend mes zzzz étudiants heureux!

Merci Marc Lacasse pour vos bons mot. Les retours de service sont assez rares pour les partager avec le plus grand nombre possible!

De :  un heureux évalué

À : Mme Clo

Vraiment, grand merci pour cette évaluation professionnellement NICKEL ; précise, juste et bien encourageante ! Vous avez clairement le don d’enseigner, je ne vous apprends rien  Enseigner, c’est comme la voix, c’est pas donné à tous de saisir toutes les subtilités, les « tons » de l’autre, et surtout celle de la capacité de mettre la personne à l’aise parce qu’on a chaussé les mêmes bottines et que l’on comprend.  L’empathie.

Je vous le disais: heu-reuse!


Ce n’est qu’un début !

Quand je vous dis que je fourmille de nouvelles idées, de nouvelles façons de faire, de nouveaux concepts pour aider quiconque en a besoin pour Parler Au Monde, c’est tout ce qu’il y a de plus vrai !

Il y a encore trop de gens qui pensent que «parler, ce n’est pas pour eux», ou, «ce n’est pas leur fort et c’est comme ça», ou, «oublie ça, je n’en suis pas capable». C’EST FAUX !

Nous en sommes tous capables! Certes, il y a des techniques, MAIS, AU DÉPART, IL Y A DES INDIVIDUS, différents les uns des autres, et c’est très bien. On ne peux pas formater la communication. Un bon communicateur est d’abord et avant tout un être qui sait de quoi il parle et qui aime le partager. Un être sincère (ou qui fait semblant de l’être, mais ça, ça s’appelle un comédien), enthousiaste et convaincant. Le reste, ce n’est qu’une boite à outils. Voilà ce que je voudrais qu’on sache de mes formations PARLER AU MONDE.

Qu’ils se donnent en privé ou en groupe, mes cours visent d’abord et avant tout à ce que vous vous donniez le droit à la parole, pour atteindre une forme de liberté et de libération individuelle. Vous ne me croyez pas ? Venez me voir, on va en parler !

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Ouf! Quelle belle fin d’année !

Parler Au Monde n’était qu’une idée il y a encore 6 mois.

Aujourd’hui, cela représente des étudiants heureux qui progressent, des groupes qui se réjouissent, des idées nouvelles à l’horizon…

Je voulais remercier les amis qui m’ont soutenue dans ce projet un peu fou de recommencer à l’aube de mes… Bref !

Merci à Christine Tassan, François de Beaulieu (ne manquez pas ses chroniques:  https://soundcloud.com/user-4167…/tristan-lecomte-pur-projet ) ma sœur Marie-Jan, et tant d’autre: Lise-Anne, Xavier-Pierre, mes compagnons de Canal M, et tous ceux dont j’ai croisé la route et qui qui m’ont donné la piqûre de l’enseignement. Je pense à Stéphan Roy et Jean Sommer, notamment.

N’oubliez pas que PRENDRE SA VIE EN MOTS, C’EST PRENDRE SA VIE EN MAIN !

 


Parler Au Monde, on en parle de plus en plus, et j’en suis bien heureuse, évidemment.

Mais j’entends aussi des commentaires qui me laissent perplexe, notamment celui-ci. « Tu vas avoir du mal à trouver des participants à tes cours, les gens n’avouent pas facilement avoir des problèmes de communication orale, ne pas savoir bien s’exprimer, bredouiller en public, manquer de confiance pour diriger une réunion… Surtout s’ils sont haut placés ! Ils ont trop honte de l’avouer !»

Je dois dire que les mots me manquent lorsque j’entends cela. Mais honte de quoi, bon sang! Comme je le dis souvent, ce n’est pas parce que la parole nous est donnée que prendre la parole est donné à tout le monde! Tout s’apprend dans la vie, y compris le fait de s’exprimer en public. Et s’il est vrai que certains l’ont plus facilement que d’autres, cela ne veut pas dire qu’il faut baisser les bras, au contraire !

Qui peut affirmer qu’il n’a jamais eu besoin de s’exprimer un jour ou l’autre devant une ou plusieurs personnes pour avancer dans la vie ? À ma connaissance: personnes. Présentations devant la classe, soutenance de thèses, entretiens d’embauches, rendez-vous importants, discours personnels ou professionnels. Les occasions de prendre la parole sont multiples et surtout communes à tous et chacun d’entre nous. Nous ne saurons pas tous des Fabrice Lucchini, mais nous pouvons tous nous améliorer !

C’est pourquoi je me demande encore pourquoi on ne nous apprend pas dès la petite enfance à saluer, à répondre au téléphone, à vivre en communauté via le langage, la gestuelle, l’harmonie ! Cela donnerait tellement confiance aux futurs adultes actifs en société.

En attendant, il y a www.parleraumonde.com


Parler au monde. Elle sait le faire. Cette auteur a un respect fou pour son lectorat et pour lui, elle n’est pas avare de mots, ni d’amour. J’ai eu la chance de rencontrer Marie Laberge cet après-midi, dans le cadre de mon émission Des livres plein les oreilles, qui sera diffusée le jeudi 22 septembre à midi sur les ondes de Canal M. Un bonheur de rencontre, un bonheur de partage. Et quelle belle communicatrice! Je voulais vous inviter à lire son essai, Treize verbes pour vivre. Un cadeau, un hymne à la vie. J’y trouve ces mots, en page 59. C’est le verbe « exprimer » dont il s’agit. Qu’elle me permette de la citer: « Sans être un créateur, toute personne normalement constituée doit exprimer quelque chose à un moment ou à un autre de sa vie. (…) Une chose est certaine: pour exprimer, il faut être. »

Je vous invite, je vous supplie, je vous exhorte: SOYEZ !

Et si vous souffrez de ne pas être, et de ne pas vous exprimer, dites-vous que c’est peut-être ici qu’une belle aventure commence, celle de Parler Au Monde.


orateur rouge et public bleuLa formation Parler Au Monde est heureuse de vous annoncer une première série d’ateliers cet automne !

  • Le samedi 1er octobre, de 9h00 à 16h30.  (pause de 12h00 à 13h30)
  • Le samedi 5 novembre 2016, de 9h00 à 16h30 (pause de 12h00 à 13h30)
  • Le samedi 3 décembre 2016, de 9h00 à 16h30 (pause de 12h00 à 13h30)

Toutes les informations se trouvent sur la page du Calendrier.


Dans la série “je rêve de lui donner un cours”: un entraîneur de judo qui fut sublime sur un tatami mais un piètre communicateur au micro.

Une entrevue, c’est comme tout, ça se prépare! Et il faut se douter que lorsque tu coaches des athlètes, il y a toutes les chances pour que tu sois à un moment ou à un autre interrogé. Il faut toujours penser à ceux qui nous écoutent. Pas d’écoute, pas de communication. Et lorsque nos pauvres oreilles sont assaillies par une douzaine d’«euh» en 30 secondes, que faire, sinon avoir envie de les battre?